En paz no descansa mi alma
Vengan a traerme una caguama
Préndanse un gallo a mi salud
Mientras se consume su llama
En paz no descansa mi alma
Vengan a traerme una caguama
Préndanse un gallo a mi salud
Mientras se consume su llama
Díganme cuanto a mi me extrañan
En esta fría madrugada
Cobardes que van tras la espalda
Al que mi luz le molestaba
Quiso apagarme y ni había necesidad
Solo por la envidia y la fama
Nomás de haberme dado cuenta
Le hubiera repartido balas
No comprendo injusticias de la vida
Porque a mi familia le han dejado gran herida
Mas me duele dejar a mi viejita
Mi niño, mi esposa disculpen la despedida
“Y así suena la Fuerza Regida mi compa Jesús
Así es mi compa Aldo Trujillo
¡Otro pedo!
¡Señor!”
Recuerden esas cargadas
Que surgían entre las charlas
Con un gallo de lado a lado
O botes y buena lavada
Y una playita en temporada
Con la bola de camaradas
La vida es tan rara e incierta
Larga y al mismo tiempo corta
Cada mañana agradecía
Tal vez que ya lo presentía
Pero son cosas de la vida
Siempre vivir a mi medida
No comprendo y jamás lo entendería
Que es lo que yo hice pa' tener tan gran herida
Mas me duele dejar desprotegida
Mi niño, mi esposa disculpen la despedida...
“Y en paz descanse todas las almas caídas
Y hay le va pa' toda esa gente envidiosa
Así nomás pariente.”
Mon âme ne repose pas en paix
Venez me faire entendre un enregistrement
allumer un coq à ma santé
Comme sa flamme brûle
Dis-moi à quel point je me manque
En ce matin froid
Les lâches qui vont derrière le dos
À qui ma lumière le dérangeait
Il voulait m'éteindre et il n'y avait pas besoin
Juste pour l'envie et la renommée
Juste avoir réalisé
Je lui aurais donné des balles
Je ne comprends pas les injustices de la vie
Parce que ma famille a été une grande blessure
Mais ça me fait mal de quitter ma vieille dame
Mon enfant, ma femme excuse les adieux
Et c'est ainsi que la force gouvernée sonne, mon ami Jésus
C'est mon ami Aldo Trujillo
Un autre pet!
Monsieur!
Souvenez-vous de ces charges
Qui est apparu entre les pourparlers
Avec un coq d'un côté à l'autre
Ou des bateaux et un bon lavage
Et une petite plage en saison
Avec la boule de camarades
La vie est si bizarre et incertaine
Long et en même temps court
Chaque matin j'étais reconnaissant
Peut-être qu'il l'a déjà senti
Mais ce sont des choses de la vie
Vivez toujours à ma mesure
Je ne comprends pas et je ne le ferais jamais
Ce que j'ai fait pour avoir une si grosse blessure
Mais ça me fait mal de laisser non protégé
Mon fils, ma femme excuse les adieux ...
Et repose en paix toutes les âmes tombées
Et il y a quelque chose pour tous ces gens envieux
Juste comme ça, relatif.